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Histoire d’Or. C’est une enseigne qu’on connaît tous, ou presque. On passe souvent devant leurs vitrines sans vraiment s’y arrêter. Pourtant, quand vient le moment d’offrir un bijou ou d’en choisir un pour soi, leur nom revient toujours. J’ai longtemps eu cette image d’une bijouterie un peu standard, pleine de lumière et de doré. Et puis un jour, j’y suis entrée pour de vrai.
Histoire d’Or, c’est un peu la grande sœur de toutes les bijouteries accessibles. Née en France à la fin des années quatre-vingt, la marque a grandi vite. Aujourd’hui, elle compte des centaines de boutiques en France et ailleurs, y compris à Paris et au centre commercial du Châtelet. Son idée est simple : rendre les bijoux accessibles à tous, sans sacrifier la qualité. Un concept populaire, mais pas creux.
Pour les pressés, il y a de belles promos en ce moment sur cette :
J’avais déjà parlé des meilleures marques de bijoux, et Histoire d’Or revenait souvent dans les messages que je recevais : « C’est de la vraie qualité ? », « Les bijoux plaqué or tiennent dans le temps ? », « Et le service client ? ». Alors j’ai décidé de faire ce que je fais toujours quand un doute me travaille : tester moi-même.
Le but ici n’est pas de trancher entre le bon et le mauvais, mais d’aider à y voir clair. Parce qu’entre le bijou qu’on garde et celui qui déçoit, la différence se joue souvent dans les détails.

Quand on entre dans une boutique Histoire d’Or, on sent tout de suite que la marque s’adresse à tout le monde. Pas besoin d’un costume ni d’une invitation. C’est une bijouterie ouverte, lumineuse, où les vitrines sont pensées pour donner envie de s’approcher. Et ça fonctionne. On s’y sent à l’aise, même si on n’y connaît pas grand-chose aux pierres ou aux carats.
Histoire d’Or est née à la fin des années quatre-vingt, avec une idée assez simple : rendre la bijouterie accessible. Pas au sens bas de gamme, mais au sens concret. Offrir de l’or, de l’argent ou du plaqué or sans avoir à pousser la porte d’une joaillerie intimidante. Aujourd’hui, la marque fait partie du groupe Thom Europe, aux côtés de Marc Orian ou Trésor. Un réseau immense, mais une image restée proche du client.
Ce que j’ai découvert en me penchant sur leur histoire, c’est une entreprise qui revendique la proximité. Le slogan « Parce que vous êtes unique » n’est pas seulement marketing. Il résume bien leur approche : une bijouterie du quotidien, pour les anniversaires, les fiançailles, ou juste une envie de briller un peu.
Leur communication joue sur l’émotion. Le bijou comme souvenir, comme symbole d’un lien. Et derrière ce ton doux se cache une vraie machine bien huilée. Plus de 400 boutiques en France, un site clair, des collections qui se renouvellent souvent, des gammes variées pour femmes, hommes et enfants. L’offre est large, mais pas désordonnée. On y trouve tout : or, argent, acier, plaqué or, pierres naturelles, montres.
Le revers de cette accessibilité, c’est la diversité de qualité. Tous les bijoux ne se valent pas, et c’est là que le choix devient important. Histoire d’Or vend du plaqué, de l’argent et de l’or véritable. Il faut donc savoir lire les descriptifs, regarder les poinçons, vérifier les mentions. Ce n’est pas un défaut, mais un point de vigilance.
C’est une marque populaire au bon sens du terme. Elle ne prétend pas être une maison de luxe, mais elle cherche à rendre le bijou possible pour tous. Et dans un marché souvent saturé de discours grandiloquents, cette simplicité a quelque chose de rafraîchissant.

Je crois que c’est devant la vitrine des colliers que j’ai vraiment compris ce qu’était Histoire d’Or. Une marque qui veut plaire à tout le monde. Des chaînes fines en argent, des pendentifs en plaqué or, des colliers en or véritable, des pierres de couleur, des symboles. Il y a de tout, et c’est justement ce mélange qui attire.
J’ai choisi un collier en or jaune 375 avec un petit pendentif cœur. Léger, discret, parfait pour tous les jours. À la réception, la première impression a été bonne : le bijou brille sans excès, la chaîne est fine mais solide, le fermoir fonctionne bien. Le pendentif est bien poli, sans bavure. Après plusieurs semaines, l’or n’a pas terni et la brillance est restée stable, même après plusieurs douches (ce que je ne recommande pas, mais j’ai voulu tester).
Dans leurs meilleures ventes, j’ai repéré plusieurs colliers avec pendentif infini ou initiale. Ce sont des modèles qui marchent toujours. Légers, féminins, offerts pour une naissance, une amitié, un anniversaire. Leur rapport qualité-prix est honnête, surtout dans la gamme argent. On trouve des pièces entre 40 et 120 euros, et la finition reste propre.
On sait si le bijou est en or, argent ou plaqué, ce qui évite les mauvaises surprises. Et la livraison, rapide, arrive toujours dans un écrin soigné, avec certificat et petit chiffon. C’est un détail, mais ça compte.
Chez Histoire d’Or, les colliers ne sont pas faits pour impressionner, mais pour plaire. Ce sont des bijoux du quotidien, simples, parfois jolis, parfois un peu passe-partout, mais qui remplissent leur rôle.

Les montres Histoire d’Or, c’est un peu la porte d’entrée de la marque pour beaucoup de gens. On vient y chercher une première belle montre, pas une pièce d’horlogerie. Quelque chose d’élégant, solide, qu’on a plaisir à regarder chaque jour sans vider son compte. Et sur ce point, la promesse est tenue.
La marque propose à la fois des montres de sa propre collection et des modèles issus de grandes marques partenaires comme Fossil, Festina, Cluse ou Hugo Boss. Ce mélange crée une vraie diversité : on peut passer d’une montre habillée en cuir noir à un cadran doré minimaliste en deux clics.
J’ai choisi de tester une montre acier doré à cadran blanc, signée Codhor. Le bracelet est fin, le boîtier léger, et l’ensemble dégage un côté chic sans être clinquant. Le mécanisme quartz reste classique, mais précis. Ce n’est pas une montre pour collectionneur, c’est une montre pour vivre, et elle remplit parfaitement ce rôle. Après plusieurs semaines, aucun défaut d’affichage, pas de perte de dorure sur le bracelet. Le fermoir tient, la teinte n’a pas bougé.
Du côté des montres homme, les meilleures ventes tournent souvent autour des modèles acier ou cuir noir. Festina, Tommy Hilfiger, Hugo Boss… La marque joue sur la variété sans perdre la cohérence. Les prix restent abordables, autour de 100 à 250 euros pour une montre fiable, avec service après-vente assuré en boutique.

Je crois que c’est sur les bagues que Histoire d’Or montre le mieux ce qu’elle sait faire. Des modèles accessibles, jolis, parfois très fins, et une gamme si large qu’on s’y perd un peu au début. Il y a de tout : or 375, argent 925, acier, plaqué or, pierres naturelles, zirconium. L’idée n’est pas de rivaliser avec une maison de joaillerie, mais de proposer à chacun un bijou qui lui ressemble.
J’ai acheté une bague en or jaune 375 avec un petit zirconium central. Simple, fine, classique. À la réception, le bijou était fidèle à la photo. Le serti bien net, le poli impeccable. Le poids est léger mais suffisant pour qu’on sente la matière. Ce n’est pas une bague qu’on craint de tordre ou de rayer dès qu’on bouge. Je l’ai portée plusieurs semaines : elle n’a pas noirci, la pierre n’a pas bougé, et le brillant est resté stable. Pour le prix (moins de 200 €), c’est un très bon rapport qualité-prix.
Les bagues Histoire d’Or sont pensées pour toutes les occasions : promesse, anniversaire, fiançailles, ou simple envie de se faire plaisir. Certaines alliances en or blanc avec diamants sont d’ailleurs très réussies, bien finies, avec des lignes modernes. Elles rivalisent parfois avec des marques plus chères.
Ce que j’aime, c’est qu’on peut choisir en connaissance de cause. Le site indique clairement le métal, le poinçon, la taille, le poids. On sait ce qu’on achète. Et si on préfère, il reste toujours la possibilité d’aller en boutique pour essayer. Les vendeurs prennent le temps, ce qui devient rare.

Le bracelet, c’est souvent le bijou qu’on remarque en dernier mais qu’on garde le plus longtemps. Chez Histoire d’Or, c’est aussi une des gammes les plus variées. Argent, or, acier, cuir, plaqué or : tout y passe, du jonc rigide au petit lien discret. Et c’est là que la marque réussit quelque chose d’assez rare : rendre ce bijou aussi accessible qu’une paire de boucles d’oreilles.
J’ai choisi un bracelet jonc en argent 925. Léger, simple, à peine bombé. Je l’ai porté plusieurs jours sans le retirer, y compris sous la douche. Il n’a pas noirci, n’a pas laissé de trace, et a gardé son éclat d’origine.
Côté hommes, Histoire d’Or propose des modèles sobres, souvent en acier ou cuir. J’en ai vu plusieurs en boutique : le fermoir magnétique est solide, les finitions propres, les textures soignées. Pour un cadeau rapide, c’est une valeur sûre. Les prix commencent autour de 40 €, et la qualité suit.

Les boucles d’oreilles sont un peu la signature d’Histoire d’Or. C’est ce qu’on remarque en premier dans leurs vitrines : des rangées de clous, de créoles, de pendantes qui attrapent la lumière. Il y en a pour tous les goûts, pour tous les budgets, et c’est sans doute ce qui explique le succès de la marque.
J’ai commencé par une paire de clous d’oreilles en or jaune 375 avec zirconium. Le genre de bijou qu’on peut mettre tous les jours sans se poser de question. L’éclat est franc, le serti bien net, la tige solide. Après plusieurs semaines, aucune trace d’oxydation, aucune irritation. L’or tient bien, même sur une peau sensible. Ce sont des boucles discrètes, mais bien finies, qu’on garde facilement d’une saison à l’autre.
J’ai aussi voulu voir du côté des modèles en plaqué or, plus abordables. Les créoles fines dorées, par exemple, sont légères et confortables. Le plaquage est joli, chaud, mais un peu fragile : il faut éviter le parfum et l’eau pour qu’elles gardent leur éclat. Rien d’anormal pour cette gamme, mais c’est à savoir. Si on les entretient bien, elles restent impeccables plusieurs mois.
Ce que j’aime, c’est la diversité. Les collections vont du petit bijou minimaliste à la paire plus habillée. Les pendantes en argent avec pierres colorées sont particulièrement réussies : un peu rétro, lumineuses sans être voyantes. On sent que la marque suit les tendances sans tomber dans l’excès.

Je crois que le mot qui résume le mieux Histoire d’Or, c’est la constance. Rien de spectaculaire, mais rien de bâclé non plus. Une enseigne qui fait son travail, qui connaît ses clients, et qui propose des bijoux pour la vraie vie, pas pour les vitrines.
Ce que j’ai aimé, c’est la transparence. Les fiches produits indiquent clairement si le bijou est en or, en argent ou en plaqué. Pas de piège dans les descriptions. Les photos sont fidèles, la livraison rapide, et les emballages soignés. On reçoit le bijou dans un petit écrin rouge, avec un certificat et un chiffon doux. Ce genre de détail, c’est simple, mais ça compte.
En boutique, l’expérience dépend beaucoup des équipes. J’ai été très bien reçue dans une boutique parisienne, avec un vrai sens du conseil, mais j’ai aussi lu des avis clients plus mitigés selon les points de vente. C’est le revers d’une grande enseigne : le service n’est pas toujours uniforme. Heureusement, le service client central reste réactif, que ce soit pour une question de taille, de retour ou de réparation.
Côté qualité, j’ai trouvé ce que j’attendais. Les bijoux en or sont fiables et bien finis. Les modèles en argent tiennent bien, tant qu’on les entretient. Le plaqué or, lui, demande plus de soin. Ce n’est pas un défaut, mais il faut le savoir avant d’acheter. Certains clients évoquent des bijoux qui ternissent vite ou des fermoirs fragiles. Ce n’est pas mon cas, mais je comprends que ça puisse arriver sur des pièces à bas prix.
J’ai aussi découvert leurs services complémentaires : le rachat d’or, la gravure, la mise à taille. Tout se fait sur place, souvent dans la journée. C’est pratique, surtout quand on veut offrir un bijou rapidement.
Alors oui, Histoire d’Or n’a pas le prestige d’une maison de joaillerie. Mais ce n’est pas son rôle. C’est une bijouterie populaire dans le bon sens du terme.
Avant de conclure, voici un petit résumé de la marque, pour y voir plus clair d’un seul coup d’œil. Les matériaux, les prix, les styles, les points forts et les précautions à connaître.
| La marque | en bref |
|---|---|
| Année de création | 1986 |
| Origine | France |
| Nombre de boutiques | Plus de 400 en France |
| Positionnement | Bijouterie accessible et familiale |
| Service client | Disponible en ligne et en boutique |
| Garantie | Deux ans sur la majorité des bijoux |
| Mon ressenti global | Une marque fiable et abordable, qui tient ses promesses sans tricher. |
Histoire d’Or reste une enseigne solide. Elle ne cherche pas à séduire les amateurs de haute joaillerie, mais à accompagner les moments simples de la vie. Une marque du quotidien, avec ce qu’il faut de brillance et de sincérité.
Histoire d’Or compte plus de quatre cents boutiques en France. On en trouve dans la plupart des centres commerciaux, notamment à Paris et au Châtelet. Le site officiel permet aussi de repérer le magasin le plus proche selon sa ville ou son code postal.
La qualité dépend du matériau choisi. Les bijoux en or 375 ou en argent 925 sont fiables et durables s’ils sont entretenus. Le plaqué or, lui, demande plus d’attention : il faut éviter le parfum, l’eau et les frottements pour conserver l’éclat du métal. Globalement, les finitions sont propres, les sertis solides, et les fermoirs fiables.
Comme toutes les grandes enseignes, Histoire d’Or propose des bijoux dans plusieurs gammes de prix. Les modèles les plus abordables sont souvent en plaqué or ou en acier. Ce sont de jolis bijoux, mais plus sensibles à l’usure. Ce n’est pas un défaut de fabrication, simplement une différence de matière.
Le service client peut être joint par téléphone ou par mail. Les conseillers répondent en général sous vingt-quatre à quarante-huit heures. En boutique, les échanges sont possibles directement au comptoir, selon le type d’achat.
Pour les achats en ligne, le délai de rétractation est de trente jours. Le bijou doit être renvoyé dans son état d’origine, avec son écrin et sa facture. Les produits personnalisés, comme les bagues gravées, ne sont ni repris ni échangés. En boutique, le remboursement n’est pas toujours possible, mais un avoir est souvent proposé.
Oui. La marque propose un service de rachat d’or en boutique. La pesée est faite devant vous, et le paiement se fait immédiatement par virement ou carte. Les taux varient selon la cotation du jour.
Histoire d’Or fait partie de ces marques qu’on connaît depuis toujours, mais qu’on redécouvre différemment quand on prend le temps de s’y attarder. Derrière les vitrines lumineuses et les grands centres commerciaux, il y a une enseigne solide, cohérente, qui a su rester proche de ses clients.
Ce que j’ai retenu, c’est cette constance tranquille. Des bijoux bien finis, un service client globalement attentif, une clarté dans les descriptions et une vraie diversité dans les gammes. On peut y acheter un collier à quarante euros comme une alliance en or blanc à plusieurs centaines, sans se sentir à côté de la plaque.
Évidemment, tout n’est pas parfait. Le plaqué or vieillit plus vite, certains fermoirs pourraient être plus robustes, et l’expérience en boutique dépend parfois de la personne en face de vous. Mais dans l’ensemble, la promesse est tenue. On achète ce qu’on voit, ni plus, ni moins.
Si vous cherchez un bijou pour marquer un moment, sans chercher la perfection absolue, Histoire d’Or est une option sûre. Une marque qui fait bien ce qu’elle promet : offrir un peu d’or, un peu d’éclat, et beaucoup de souvenirs.
Si le monde des bijoux vous passionne, voici d’autres marques que j’ai testées et qui valent le détour :