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Quand on cherche un outil de facturation, on tombe sur tout et n’importe quoi. Des tableaux Excel à remplir soi-même, des logiciels conçus pour des PME avec 12 salariés, ou des plateformes à 40 € par mois… pas franchement adaptées si on a une micro-entreprise qui démarre.
Si vous en êtes là, je vous conseille déjà de lire mon comparatif complet des solutions de facturation pour auto-entrepreneurs. Ça vous fera gagner du temps.
Moi aussi, je suis passée par là. Quand j’ai créé mon activité, j’ai voulu faire simple. Factures manuelles, calculs à la main, petits rappels perso pour ne pas rater les déclarations… Ça a marché deux mois. Ensuite ? Le stress, les oublis, et l’impression d’être tout le temps en train de jongler avec des trucs pas faits pour moi.
C’est à ce moment-là que j’ai découvert Indy.
Ce qui m’a convaincue ? Ce n’est pas juste un outil de compta ou de facturation. C’est une plateforme pensée pour les indépendants, avec un ton normal, des fonctions utiles, et une vraie compatibilité avec le statut auto-entrepreneur.
Aujourd’hui, j’y fais tout : devis, factures, déclarations URSSAF, suivi de mes plafonds, et même mon compte bancaire pro.
Dans cet article, je vous partage mon avis sur Indy, les fonctions que j’utilise vraiment, les limites à connaître, et les réponses aux questions qu’on se pose tous avant de choisir un outil pour gérer son activité.
Fonctionnalité / Service | Ce que ça permet de faire | Pour qui c’est adapté |
---|---|---|
Comptabilité automatisée | Suivre ses revenus et charges, catégoriser automatiquement les dépenses, générer les documents comptables | Auto-entrepreneurs, professions libérales, sociétés (BNC, BIC) |
Facturation (devis + factures) | Créer facilement des devis et factures personnalisés, conformes à la loi anti-fraude, avec logo, TVA, mentions obligatoires | Tous les indépendants |
Déclarations URSSAF / TVA | Déclarer son chiffre d’affaires ou sa TVA en quelques clics, avec rappels automatiques et chiffres pré-remplis | Auto-entrepreneurs, micro-BNC, micro-BIC |
Déclarations fiscales (2035, 2065…) | Générer les liasses fiscales à transmettre à l’administration, en conformité avec le régime réel | Professions libérales en BNC, sociétés |
Compte pro 100 % en ligne | Recevoir ses paiements, faire des virements, suivre ses finances dans une interface intégrée à Indy | Auto-entrepreneurs, freelances |
Alerte dépassement de seuils | Être notifié quand on approche du plafond de chiffre d’affaires (URSSAF ou TVA) | Auto-entrepreneurs, micro-entreprises |
Accompagnement à la création | Créer son entreprise en ligne, choisir le bon statut, remplir les bons formulaires | Entrepreneurs en création d’activité |
Dépôt de capital social | Déposer le capital pour créer une société (EURL, SASU, etc.), recevoir l’attestation légale | Créateurs de société (hors micro-entreprise) |
Support client & chat | Poser ses questions techniques, administratives ou fiscales à des vrais humains (par mail ou chat) | Tous les utilisateurs d’Indy |
WikiCompta & tutoriels | Comprendre les bases de la compta, trouver des réponses claires à ses questions, consulter des pas-à-pas | Indépendants curieux ou en autonomie |
Je ne vais pas tourner autour du pot : Indy m’a enlevé un poids. Quand on gère sa micro-entreprise seule, on porte déjà mille casquettes. Si en plus on doit se transformer en experte-comptable une fois par mois, ça devient vite invivable.
J’ai testé pas mal de méthodes « maison » avant : fichiers Excel (vite trop courts), modèles Word (jamais à jour), relances URSSAF notées sur un post-it (que j’ai perdu). À chaque déclaration trimestrielle, je passais une demi-journée à recouper mes paiements, vérifier les montants, chercher une preuve de virement quelque part dans mes mails…
C’est un outil de facturation gratuit pour les auto-entrepreneurs, ce qui est assez rare pour être signalé. Mais ce n’est pas juste une question de prix.
L’interface est claire. Les mots sont simples. On ne vous parle pas de bilan ni d’immobilisation. On vous demande juste ce que vous avez gagné, ce que vous avez facturé, et Indy se débrouille pour tout classer. Je me connecte, je vois immédiatement si je suis dans les clous. Et si je dépasse un seuil, je suis alertée avant que ça devienne un problème.
Je fais mes factures depuis l’outil, je suis mes paiements, je déclare à l’URSSAF directement via leur plateforme. Je n’ai plus besoin de jongler entre 4 applis et 3 alertes Google Calendar.
Ce n’est pas magique, non. Mais ça me fait gagner du temps, et surtout de la charge mentale. Je ne suis plus dans la peur d’avoir oublié un truc ou de faire une erreur bête !
C’est souvent la première vraie question qu’on se pose après avoir regardé ce que l’outil propose. Et honnêtement, c’est aussi ce qui m’a fait tester Indy au départ : leur modèle est simple, sans pièges, et surtout hyper accessible.
Oui, gratuit. Pas un “freemium” limité à 3 factures par mois, pas un essai de 14 jours. Indy est réellement gratuit à 100 % pour les auto-entrepreneurs. Vous avez accès à toutes les fonctionnalités : facturation, compta simplifiée, déclarations URSSAF, alertes, support… le tout, sans engagement.
Et franchement, rien que ça, ça mérite d’être signalé. Peu de concurrents jouent le jeu à ce point.
Là, c’est payant mais ça reste raisonnable.
Les formules débutent à partir d’environ 20 € à 49 € par mois, selon votre statut et vos besoins (TVA, liasse fiscale, support comptable…).
Et contrairement à d’autres plateformes, il n’y a pas d’options “cachées” à cocher pour accéder aux fonctions de base.
Oui, Indy propose régulièrement des offres de bienvenue, notamment pour les professions libérales, les nouveaux inscrits, ou lors de la première déclaration.
Si vous passez par ce lien il y a deux mois offerts : Accéder à l’offre en cours chez Indy
vous verrez automatiquement si une réduction ou période d’essai offerte est proposée en ce moment.
Je ne vous conseille pas d’attendre un « Black Friday de la compta », mais franchement, ça vaut le coup de regarder avant de vous inscrire.
C’est l’une des premières fonctions que j’ai testées chez Indy, et c’est clairement ce qui m’a convaincue de rester. La facturation, quand on est auto-entrepreneur, ça a l’air simple sur le papier… jusqu’au jour où un client vous demande un devis en bonne et due forme, ou que vous réalisez que votre facture n’a pas les mentions obligatoires.
Avec Indy, je crée mes factures et mes devis depuis le même endroit que ma compta. Tout est centralisé. Je peux ajouter mon logo, personnaliser les couleurs, ajuster les taux de TVA si besoin, et choisir les bonnes mentions selon mon activité. Je peux même enregistrer des prestations récurrentes, pour ne pas tout retaper à chaque fois.
Je reçois une alerte quand une facture reste impayée, je peux envoyer une relance en un clic (et polie, en plus), et je vois en temps réel ce que j’ai facturé ce mois-ci.
C’est propre, clair, bien présenté, et conforme aux obligations légales, y compris la fameuse loi anti-fraude TVA.
Les factures sont automatiquement liées à ma comptabilité. Pas besoin d’exporter quoi que ce soit, ni de croiser les doigts pour que les chiffres tombent juste. Quand je déclare mon chiffre d’affaires, tout est déjà prêt.
Est-ce que c’est l’outil le plus “design” du monde ? Non. Mais est-ce que ça fait le job mieux que 90 % de ce que j’ai testé jusqu’ici ? Clairement oui.
Je ne vais pas mentir : la comptabilité, c’était le truc qui me faisait le plus flipper quand je me suis lancée. Pas parce que je suis mauvaise avec les chiffres, mais parce que je n’ai pas envie de devenir experte en ligne 5C de la 2035.
Une fois que vous connectez votre compte bancaire, le logiciel commence à classer les opérations automatiquement : ce paiement, c’est une vente. Ce débit, c’est une charge. Ce virement-là, c’est un paiement fournisseur. Vous n’avez qu’à valider ou ajuster.
Le tableau de bord est clair. Je vois ce que j’ai gagné, ce que j’ai dépensé, ce qu’il me reste à déclarer. Et le jour de l’échéance URSSAF ? Je clique, je vérifie, j’envoie. Fini les calculs à la main ou les erreurs de virgule.
Indy m’a aussi permis de comprendre ce que je faisais, pas juste de cliquer bêtement. Si j’ai un doute, il y a toujours une petite explication à portée de main (et compréhensible, ce qui est un miracle en soi).
Autre point très pratique : si vous êtes en BNC ou au réel simplifié, Indy génère aussi votre déclaration 2035 ou 2065, et même la liasse fiscale. Vous pouvez transmettre tout ça en ligne directement aux impôts.
Et si vous êtes comme moi,auto-entrepreneuse sans TVA, vous pouvez tout gérer sans rentrer dans des modules compliqués. Mais si jamais vous passez au régime réel ou à la TVA, tout est déjà prévu.
Je l’avoue, j’étais un peu sceptique quand Indy a lancé son compte pro. Je me disais : encore une carte, encore une appli, encore un IBAN à gérer ? Et puis j’ai testé. Et honnêtement, si vous n’avez pas encore de compte pro, ça vaut le coup.
Déjà, il est 100 % intégré à votre espace Indy.
Vous recevez une vraie carte bancaire Visa, utilisable partout, et vous pouvez faire vos virements SEPA directement depuis l’interface.
Pas de frais d’ouverture, pas d’abonnement caché, pas de conditions farfelues.
Ce que j’ai aimé :
Est-ce que ça remplace une néobanque ultra complète comme Qonto ou Shine ? Pas forcément si vous avez plusieurs structures, ou des besoins très spécifiques.
Mais si vous débutez, ou que vous voulez centraliser un maximum sans prise de tête, c’est franchement une bonne solution.
Quand on est auto-entrepreneur, il y a un truc qu’on oublie souvent (jusqu’à ce que ça pique) : le plafond de chiffre d’affaires.
Et franchement, ce n’est pas toujours clair. Les seuils changent selon l’activité, il faut distinguer plafond de tolérance et seuil de TVA, surveiller son rythme de facturation… C’est tout un jeu d’équilibriste. Et autant vous dire que je n’avais aucune envie de calculer ça à la main tous les mois.
Avec Indy, j’ai été alertée automatiquement quand je m’approchais du plafond. Un petit message clairpour dire : attention, si vous continuez à ce rythme, vous risquez de sortir du régime. Et surtout, on vous explique ce que ça implique, avec des mots simples.
Autre truc ultra utile : je vois en temps réel où j’en suis. Pas besoin d’attendre la fin du trimestre ou de faire un export compliqué. Tout est là, sous mes yeux.
Et si vous devez passer à la TVA ? Indy vous guide aussi. Il vous explique ce que ça change, vous permet d’ajuster vos paramètres de facturation, et vous aide à déclarer dans les clous, sans crise d’angoisse ni formulaire incompréhensible.
Je vais être franche : je suis plutôt du genre à me débrouiller seule. Mais quand je bloque sur un truc fiscal, j’ai besoin qu’on me réponde vite, bien, et sans me prendre pour une comptable.
Le support est vraiment réactif. J’ai testé plusieurs fois leur chat , et à chaque fois, j’ai eu une réponse claire, posée, sans copier-coller automatique. Ce ne sont pas des robots qui vous répondent, et ça se sent.
Et surtout : on peut poser des questions comptables, pas juste des bugs techniques. Si vous hésitez sur une déclaration, un seuil, un libellé de facture… ils vous orientent. Ils ne font pas le boulot à votre place, mais ils savent de quoi ils parlent. Et quand on débute, c’est précieux.
Autre point à noter : leur WikiCompta est une mine d’or. Des articles simples, illustrés, mis à jour, qui expliquent vraiment les notions de base : BNC, TVA, franchise, amortissement, déclaration de TVA simplifiée… c’est comme un petit prof de compta privé, mais sans jargon.
Il y a aussi pas mal de guides pratiques et tutos directement intégrés à l’outil. .
Au début, je ne m’étais pas trop posé la question. Mais quand on commence à centraliser toute sa compta, ses paiements, ses clients, ses déclarations fiscales dans un seul outil… on se demande vite si c’est vraiment sécurisé.
Bonne nouvelle : Indy coche toutes les cases.
Côté conformité, pas de flou. L’outil est certifié anti-fraude à la TVA, ce qui est obligatoire en France depuis 2018. Vos factures sont donc 100 % conformes aux exigences de l’administration fiscale, et ça, ça évite les mauvaises surprises en cas de contrôle.
Les données sont hébergées en France, dans des centres sécurisés, avec chiffrement et respect du RGPD. Vous restez propriétaire de toutes vos infos, et vous pouvez les exporter facilement si un jour vous décidez de changer d’outil. (Je n’en ai pas eu besoin, mais j’ai testé par curiosité. C’est clair et complet.)
Autre truc important : Indy n’est pas une usine à pub ou une plateforme planquée derrière un grand groupe douteux. C’est une boîte française, indépendante, avec une équipe qui développe son produit sérieusement. Et on sent que la confiance des utilisateurs, c’est leur priorité.
Quand on est auto-entrepreneur, on ne se projette pas toujours au-delà du plafond. Mais parfois, ça décolle plus vite que prévu. Ou on change de statut, on embauche, on facture à l’étranger… Bref : l’activité ne reste pas figée. Et dans ces moments-là, l’outil qu’on utilise doit pouvoir suivre le mouvement.
Et justement, Indy ne s’arrête pas à la micro-entreprise. C’est l’une des raisons pour lesquelles je l’ai choisi.
Indy est parfaitement adapté aux sociétés unipersonnelles type SASU ou EURL. Il gère la comptabilité réelle, la TVA, les immobilisations, les amortissements… tout ce qu’on essaie d’éviter tant qu’on peut, mais qui devient inévitable à un moment.
Et ils proposent aussi un dépôt de capital en ligne si vous créez votre boîte avec eux. C’est rapide, bien expliqué, et vous obtenez l’attestation pour le greffe sans stress.
Indy gère aussi les activités mixtes (ex. : vente + prestation, ou TVA partielle). Vous pouvez paramétrer vos taux, indiquer ce qui est exonéré, suivre les catégories séparément.
C’est pas le cas de tous les outils concurrents, je le précise.
TVA intracommunautaire, mentions spécifiques sur les factures, conversions de devises : Indy est compatible avec une activité à l’international, dans la limite du raisonnable (c’est un outil de compta, pas un ERP de multinationale). Mais tout ce que j’ai eu à faire jusqu’ici, j’ai pu le gérer depuis la plateforme.
Autrement dit : Indy peut vous suivre même si votre activité change de dimension. Vous n’aurez pas à tout refaire dans six mois parce que vous êtes sorti du cadre “auto-entrepreneur”.
Et ça, quand on construit une activité sur le long terme, c’est plutôt rassurant.
Avant de choisir Indy, j’ai passé pas mal de temps à comparer. J’ai épluché les offres, testé des démos, lu des avis, regardé les tarifs à la loupe. Et autant dire que dans le monde des outils de gestion pour indépendants, il y a de quoi s’y perdre.
Je vous partage ici ce que j’ai retenu, pas une vérité absolue, mais mon ressenti perso après avoir hésité (longuement) entre plusieurs options.
Freebe est un très bon outil, surtout pour les freelances en prestation de services. L’interface est soignée, la création de devis et factures est agréable, et il y a quelques fonctions bien pensées (comme le suivi du temps ou les notifications URSSAF).
Shine est d’abord une néobanque. Très bien pensée d’ailleurs : rapide, fluide, avec un service client ultra réactif. Mais niveau gestion comptable, on reste sur du suivi de base. Il y a des modèles de factures, quelques aides aux déclarations, mais pas de réelle automatisation comptable.
Indy, en revanche, est un outil de compta avant tout, avec des fonctions plus avancées (déclarations fiscales, liasse, etc.).
LegalPlace propose beaucoup de services annexes (création d’entreprise, formalités juridiques, documents types…). C’est pratique si vous êtes dans une phase de création ou de changement de statut.
Mais niveau compta, ce n’est pas leur cœur de métier. J’ai trouvé l’interface moins claire, et surtout : l’accompagnement est plus juridique qu’opérationnel.
Ces outils s’adressent clairement à des structures déjà installées : plusieurs salariés, flux complexes, équipes dédiées.
Rien à voir avec une micro-entreprise ou une activité solo. J’ai regardé par curiosité, mais je me suis vite rendue compte que c’était trop lourd, trop cher, et pas du tout pensé pour moi.
Je ne dis pas qu’Indy est « le meilleur » outil universel. Mais pour une auto-entrepreneuse comme moi, qui voulait tout gérer seule, sans stress et sans y passer mes week-ends, c’est celui qui coche le plus de cases.
Avant de m’abonner à quoi que ce soit, j’ai une habitude : je lis les avis. Les bons, les mauvais, les agacés, les enthousiastes… Et pour Indy, il y en a beaucoup.
Entre les témoignages sur leur site, ceux de Trustpilot (4.7 quand même pas mal!), les forums et les blogs spécialisés, on commence à se faire une idée.
Moi, je retrouve complètement ces retours-là. Notamment sur la prise en main rapide : j’ai compris l’outil en moins d’une heure, sans avoir besoin de tuto YouTube ou de lire 15 pages d’aide.
Certains utilisateurs notent :
Mais dans l’ensemble, ce que je lis se recoupe avec mon expérience : un outil fiable, bien pensé pour les indépendants, qui fait gagner du temps et évite bien des erreurs.
Oui. C’est même l’un des points forts d’Indy. L’interface est sobre, bien pensée, sans jargon. On comprend vite où cliquer, et chaque étape est guidée. Même si vous n’avez jamais touché à un logiciel de compta, vous pouvez l’utiliser sans galérer.
Indy fonctionne avec plusieurs statuts : auto-entrepreneur (micro-BNC, micro-BIC), professions libérales au réel, EURL, SASU…
C’est un des rares outils à couvrir à la fois le régime micro et la compta réelle, sans changer complètement d’interface.
Oui. Vous pouvez faire vos déclarations URSSAF, TVA, votre 2035, votre liasse fiscale… selon votre régime. C’est conforme aux obligations fiscales françaises, et certifié anti-fraude.
ndy est justement pensé pour ceux qui veulent rester autonomes. L’outil vous guide pas à pas, avec des explications claires. Pas besoin de comptable si votre activité reste “classique”.
Mais si vous avez des cas particuliers ou besoin d’un œil expert, vous pouvez toujours vous faire accompagner ponctuellement.
Oui. Vous pouvez créer des devis, les transformer en factures, envoyer des relances automatiques, suivre les paiements…
Tout est intégré dans l’espace Indy, sans plugin ou outil externe.
Oui. Indy est compatible avec la plupart des banques françaises. Vous pouvez aussi connecter des plateformes comme Stripe ou Paypal. Les transactions sont automatiquement catégorisées.
Oui. Indy gère la TVA collectée et déductible, selon votre régime. L’outil adapte les mentions sur vos factures et vous guide pour déclarer la TVA sans erreur.
Oui. L’outil est certifié conforme à la loi anti-fraude à la TVA, et accepte les télétransmissions fiscales. Vous êtes dans les clous à chaque étape.
Oui. Elles sont hébergées en France, respectent le RGPD, et sont chiffrées. Vous restez propriétaire de vos données, et pouvez les exporter à tout moment.
Pour les auto-entrepreneurs, c’est 100 % gratuit.
Pour les autres statuts (BNC réel, sociétés), les prix varient selon les options, à partir de 20 à 40 €/mois environ.
Non. Le tarif affiché est clair. Pas de limite sur le nombre de factures ou de clients. Le compte pro est gratuit également, sauf pour certaines opérations spécifiques (virements instantanés, par exemple).
Oui. L’abonnement est sans engagement. Vous pouvez arrêter quand vous voulez. Et vous pouvez exporter vos données si vous changez d’outil.
Les deux. Le support Indy est formé à la comptabilité. Vous pouvez poser des questions sur votre déclaration, un seuil, ou même un doute sur un taux de TVA.
Oui. Indy vous guide pas à pas. Et en cas de doute, le support peut vous aider à valider les infos.
Oui. Vous pouvez gérer plusieurs activités dans une même structure (ex. : vente + service), avec une TVA différente par exemple. Pour gérer plusieurs entreprises, il faut créer un compte Indy par structure.
Oui. Indy gère les factures intracommunautaires, les mentions spécifiques, et permet d’appliquer les bons taux. Pour de l’export hors UE, c’est un peu plus technique, mais faisable.
Je ne vais pas vous dire qu’Indy est “le meilleur outil” pour tout le monde.
Mais si vous êtes auto-entrepreneur, freelance ou profession libérale, que vous gérez tout seul, et que vous voulez être tranquille sans faire appel à un comptable, c’est franchement une excellente option.
L’outil est clair, complet, pensé pour les indépendants.
Il n’essaie pas de vous vendre des modules inutiles, et il ne vous infantilise pas non plus.
Vous restez autonome, mais accompagné quand vous en avez besoin. Et pour moi, c’est exactement ce que je cherchais.
Si vous débutez, ou que vous cherchez une alternative simple à votre Excel bancal ou votre cabinet trop cher, Indy mérite clairement un essai.
Et s’il ne vous convient pas ? Vous pouvez partir sans engagement.
Et si vous hésitez encore ou que vous voulez comparer, j’ai aussi rédigé un guide complet avec les meilleurs outils pour les auto-entrepreneurs : facturation, banque, organisation… de quoi trouver celui qui vous correspond vraiment.