PowerDetect NeverTouch pro : mon avis sur l’aspirateur robot de Shark !

Depuis quelque temps, j’en avais franchement assez de devoir jongler entre mon aspirateur balai et mon vieux robot qui se coinçait à chaque tapis. Alors quand j’ai entendu parler du Shark PowerDetect NeverTouch Pro 2-en-1, un robot capable à la fois d’aspirer et de laver, tout en se vidant et se nettoyant tout seul, j’ai tendu l’oreille. Et j’ai fini par craquer.

J’ai opté pour le modèle RV2800ZEEU, vendu en France avec sa base automatique ultra complète : vidage automatique, remplissage du réservoir, lavage de la serpillière… bref, un robot qui promet de fonctionner sans intervention manuelle. Il est même capable d’adapter automatiquement sa puissance en fonction du niveau de saleté détectée.

Pour info, il est en très grosse promo sur le site de Shark pour quelques jours :

Après plusieurs semaines d’utilisation dans une maison avec enfants, poils de chat et parquet clair (le combo gagnant pour tester un aspirateur !), je vous partage ici mon avis , mes retours concrets, ce que j’ai adoré… et ce que j’aurais aimé savoir avant de l’acheter.

Pourquoi j’ai craqué pour ce robot aspirateur 2-en-1 Shark

Chez moi, le sol se salit vite. Entre les allées et venues quotidiennes, les miettes des enfants et les poils du chat (qui adore perdre ses poils partout), j’avais clairement besoin d’un vrai coup de main au quotidien. Mon ancien robot aspirateur faisait ce qu’il pouvait, mais il se bloquait souvent, ne passait jamais partout… et je devais vider le bac à chaque cycle, sans parler du lavage à la main.

Je voulais un modèle vraiment autonome, qui puisse gérer à la fois l’aspiration et le lavage, tout en demandant le moins d’entretien possible. Et c’est là que j’ai découvert le Shark PowerDetect NeverTouch Pro 2-en-1.

Pourquoi ce modèle m’a convaincue ? Clairement pour sa promesse :
Il aspire ET il lave
Il détecte la saleté et adapte sa puissance automatiquement
Il se vide et se nettoie tout seul
Il est pilotable à distance via l’appli SharkClean (ou même à la voix)

Je n’avais encore jamais vu un robot proposer une base aussi complète : elle contient un bac à poussière, un réservoir d’eau propre, un bac pour l’eau sale… et elle nettoie même la lingette après chaque lavage ! Bref, plus besoin de vider quoi que ce soit, ni de frotter à la main.

J’ai comparé avec d’autres modèles (y compris chez Roborock et Dreame), mais aucun n’offrait à la fois l’autovidage, l’autolavage ET la fonction PowerDetect pour ce prix-là. Pour moi, c’est ce qui a fait pencher la balance.

Présentation technique du PowerDetect NeverTouch Pro

Avant de vous parler de ce que ce robot donne en situation réelle, petit tour d’horizon de sa fiche technique, car c’est clairement ce qui m’a fait dire “ok, là on est sur du haut niveau”.

Dimensions et format

Le robot Shark PowerDetect NeverTouch Pro (réf. RV2800ZEEU) affiche des dimensions standard pour un robot haut de gamme :

• Diamètre : environ 34,5 cm
• Hauteur : 10 cm (il passe sous la plupart de mes meubles bas)
• Poids du robot : env. 4 kg, assez léger vu sa puissance

La station de vidage et de nettoyage est plus imposante :

• Hauteur : environ 45 cm
• Largeur au sol : environ 30 x 35 cm
  Elle a besoin d’un peu d’espace, mais elle est plutôt élégante et sobre (plastique gris anthracite mat avec touches métalliques).

Ce qu’il a sous le capot

• Type d’alimentation : batterie lithium-ion 33V (aucun câble à gérer du côté du robot)
• Autonomie annoncée : jusqu’à 60 minutes (je vous dirai plus loin ce que j’ai observé)
• Recharge automatique dès que la batterie est faible
• Navigation laser + capteurs anti-collision pour cartographier toute la maison
• Système de lavage intelligent : eau propre / eau sale bien séparées + nettoyage automatique de la lingette

Ce qu’on reçoit dans la boîte

• Le robot lui-même (préinstallé avec sa brosse et sa lingette)
• La station multifonction : vidage poussière, remplissage eau propre, réservoir d’eau sale, nettoyage de la serpillière
• 3 lingette lavable réutilisable
• Le câble d’alimentation pour la station

En résumé : ce robot est conçu pour fonctionner avec le moins d’intervention manuelle possible, et son format reste raisonnable malgré la base complète. Tout est bien pensé dès l’unboxing.

Navigation et intelligence embarquée : comment il se repère dans la maison

C’est souvent le point faible des robots : ils se cognent, ils tournent en rond ou oublient la moitié du salon… Ici, avec le Shark PowerDetect NeverTouch Pro, j’ai été franchement impressionnée dès le premier cycle.

Un vrai cerveau embarqué

Le robot utilise une technologie de navigation laser combinée à des capteurs infrarouges pour cartographier mon intérieur pièce par pièce. Dès le premier passage, il a dressé un plan très précis de l’appartement depuis l’application SharkClean, en quelques minutes à peine.

Ce que j’ai aimé :

• Il n’oublie aucune zone : il avance de façon méthodique, rangée après rangée.
• Il reconnaît les seuils et les tapis (il évite d’y passer en mode lavage).
• Il sait contourner les objets : pieds de chaise, vases, gamelles du chat… rien ne l’arrête ou ne le piège.

Une carte personnalisable

Depuis l’appli, j’ai pu nommer mes pièces (“Salon”, “Chambre”, “Cuisine”…), créer des zones interdites (pour éviter qu’il s’aventure sous un meuble bas), et même définir des “zones ciblées” à nettoyer plus fréquemment (ex : sous la table à manger).

Et pour ne rien gâcher :

• On peut lancer un nettoyage pièce par pièce ou selon un horaire défini.
• Le robot reconnaît le type de sol (carrelage, tapis, parquet) et adapte son comportement.

PowerDetect en action

Le plus bluffant, c’est la fonction PowerDetect : il analyse la quantité de saleté en temps réel et augmente automatiquement la puissance d’aspiration si nécessaire. J’ai testé en éparpillant volontairement du sucre et des miettes dans l’entrée : il a tout de suite repéré la zone et enclenché un mode plus fort, sans que j’aie besoin d’intervenir.

En clair : il ne se contente pas de passer “au hasard”. Il apprend, il s’adapte et il suit un parcours intelligent, en aspirant mieux là où il faut. J’avoue, j’ai arrêté de surveiller ce qu’il faisait au bout de deux jours 😄

Double fonction aspirateur + lavage : est-ce que ça fonctionne bien ?

Un robot qui aspire et qui lave, c’est tentant… mais est-ce que ça tient vraiment la route ? Avec le Shark PowerDetect NeverTouch Pro, j’étais un peu sceptique au départ. Spoiler : j’ai vite été rassurée.

Deux fonctions en un seul passage… ou séparément

Le robot propose plusieurs modes :

• Aspiration seule
• Lavage seul
• Aspiration + lavage simultané

Le lavage est vraiment efficace (et il fait attention aux tapis)

Le système de lavage repose sur une lingette lavable humidifiée en continu. Ce n’est pas juste un “coup de chiffon mouillé” : le robot régule l’humidité selon les besoins et évite automatiquement les tapis et moquettes en mode lavage.

Ce que j’ai observé :

• Il laisse le sol à peine humide, ce qui est parfait : tout sèche en quelques minutes.
• Le nettoyage est homogène, même dans les angles.
• Il arrive à effacer les petites traces de chaussures, et même une vieille tache de jus d’orange sur le carrelage.

Le gros plus : la lingette se lave toute seule

Et là, on touche au vrai confort : une fois le cycle terminé, le robot retourne à sa station et… la lingette est automatiquement nettoyée. Il passe de l’eau propre, récupère l’eau sale, et l’essuie en partie. Je n’ai eu à la rincer manuellement qu’une fois par semaine.

En résumé : le lavage est bien plus qu’un gadget. Il est intelligent, modulable, et surtout, il ne demande aucun effort. J’ai clairement réduit le passage de ma serpillière manuelle à… zéro 😊

Performances d’aspiration et de lavage : le test en conditions réelles

Alors concrètement, est-ce que le Shark PowerDetect NeverTouch Pro aspire et lave vraiment bien ? Je l’ai testé dans toutes les conditions possibles : miettes du petit déjeuner, poils de chat, cheveux longs, traces de pas… et voilà ce que ça donne.

Aspiration : il ne laisse rien derrière lui

Ce qui m’a impressionnée dès la première utilisation, c’est sa puissance d’aspiration. Le robot passe plusieurs fois sur les zones sales si besoin, et surtout, il adapte automatiquement sa puissance grâce à la technologie PowerDetect.

Sur mon parquet et mon carrelage :

• Il récupère toutes les miettes, même celles coincées contre les plinthes.
• Il attrape les poils d’animaux sans bourrer la brosse (merci la brosse anti-emmêlement !).
• Il gère très bien les petits débris fins type sable ou poussière légère.

Sur les tapis :

• Il monte sans souci sur mes tapis tissés.
• Il augmente automatiquement la puissance (mode Boost) et aspire en profondeur.
• Résultat : les poils sont partis, et les fibres sont visiblement plus “aérées”.

Lavage : un vrai petit plus au quotidien

Comme je le disais dans la partie précédente, la fonction de lavage m’a agréablement surprise. Ce n’est pas une serpillière vapeur, mais pour entretenir un sol propre ou nettoyer une trace récente, c’est redoutablement efficace.

Est-ce qu’il y a des limites ?

Oui, évidemment :

• Il ne remplacera pas un bon nettoyage à fond avec brosse et produit dégraissant.
• Il ne fait pas les joints ni les recoins ultra profonds (mais aucun robot ne le fait…).

Mais pour un entretien quotidien sans effort, il fait très bien le job.

En clair : côté performance, je n’ai rien à lui reprocher. Il me fait gagner du temps chaque semaine et je n’ai plus cette impression de devoir repasser derrière lui. C’est ce que j’attendais.

Un robot vraiment autonome ? Mon retour sur la promesse NeverTouch

Le nom “NeverTouch”, je vous avoue que je l’ai pris avec un peu de recul au début. Un robot qui nettoie tout, tout seul, sans qu’on ait besoin de le toucher ? Franchement, j’y croyais moyen. Et pourtant… je dois reconnaître que le contrat est largement rempli.

Il se vide tout seul après chaque passage

Le robot retourne à sa base, aspire tout le contenu de son petit bac interne vers la station, qui peut contenir jusqu’à 2 litres de poussière. Et c’est là que le nom “NeverTouch” prend tout son sens : je n’ai pas eu à ouvrir le robot une seule fois depuis que je l’utilise.

Je vide le bac de la base environ tous les 15 à 20 jours (à raison de 3 nettoyages par semaine dans 90 m²).

Il se remplit et se vide tout seul côté lavage

Et ce n’est pas tout. La station contient :

• Un réservoir d’eau propre de 3 litres
• Un réservoir d’eau sale de 2,5 litres

Quand je lance un cycle avec lavage, le robot :

1. Va se remplir automatiquement
2. Humidifie sa lingette selon mes réglages
3. Et une fois le travail terminé… il revient à la base et vide l’eau sale dans son bac dédié

Je reviens parfois plusieurs heures plus tard, et tout est prêt pour le prochain cycle, sans rien avoir à faire.

Et il nettoie même sa propre lingette

C’est la cerise sur le robot 🧁
Le Shark PowerDetect NeverTouch Pro nettoie la lingette en tissu après chaque utilisation, en la rinçant avec de l’eau propre, puis en raclant les saletés dans le bac d’eaux usées. C’est évidemment moins efficace qu’un passage en machine, mais pour de l’entretien quotidien, c’est suffisant.

Ce que je fais encore moi-même :

• Vider les réservoirs toutes les 2 semaines
• Rincer la lingette à la main de temps en temps
• Nettoyer les capteurs (poussière, humidité) avec un chiffon microfibre tous les 15 jours

Mais comparé à mes anciens robots… c’est le jour et la nuit. C’est vraiment le premier appareil que je peux oublier complètement tout en gardant un sol propre.

Application SharkClean : intuitive et pratique ?

Je suis un peu maniaque quand il s’agit d’applications domotiques. Trop de menus, c’est non. Une interface moche, encore pire. Du coup, je ne vous cache pas que j’avais une petite appréhension avant d’installer SharkClean. Mais bonne surprise : l’app est bien conçue, fluide, et vraiment simple à prendre en main.

Installation facile et rapide

• J’ai téléchargé l’application sur mon smartphone (dispo iOS et Android).
• L’appairage avec le robot a pris moins de 3 minutes via Wi-Fi.
• Une fois connecté, le robot a immédiatement commencé à cartographier mon logement.

Et surtout : aucune galère de déconnexion ou de mise à jour qui plante. Ça fonctionne du premier coup, et ça continue de fonctionner au quotidien.

Une gestion pièce par pièce très précise

Depuis l’application, je peux :

• Lancer un nettoyage d’une pièce spécifique ou d’une zone personnalisée
• Programmer des cycles à heure fixe (ex. : le lundi à 10h pour la cuisine uniquement)
• Créer des zones interdites : tapis précieux, coin gamelles du chat, etc.
• Régler la puissance d’aspiration et le niveau d’humidité pour le lavage

Et comme le robot reconnaît chaque type de sol, je n’ai pas besoin de penser à tout chaque fois. Je crée ma routine une fois, et il s’adapte à ma maison ensuite.

Notifications utiles, pas intrusives

Je reçois uniquement ce qui est utile :

• “Le cycle est terminé”
• “Le réservoir d’eau propre est vide”
• “Le bac à poussière est plein”
• Ou encore : “Entretien recommandé”

Je peux choisir de recevoir ces messages en push ou pas, et tout est paramétrable.

Compatible avec Alexa et Google Home

Je peux dire “OK Google, nettoie la cuisine”, et c’est lancé. On est en 2025, et franchement, j’apprécie ce genre de petit confort 😄

En résumé : si vous aimez tout contrôler facilement depuis votre téléphone (ou à la voix), l’app SharkClean coche toutes les cases. Elle est aussi intuitive que les meilleures applis que j’ai pu tester dans ce domaine.

Autonomie & recharge : combien de temps il tient (et recharge) vraiment ?

Quand on parle de robot aspirateur, l’autonomie, c’est un critère clé. Surtout pour les logements un peu grands, où on n’a pas envie de le voir s’arrêter au milieu du salon, batterie à plat. Avec le Shark PowerDetect NeverTouch Pro, j’ai eu quelques bonnes surprises.

Jusqu’à 60 minutes en une charge

En mode standard (aspiration classique), le robot tient environ 1 heure, ce qui permet de couvrir facilement 90 à 100 m² chez moi sans souci.

Astuce : on peut paramétrer la puissance de base dans l’appli, donc si vous avez un sol assez propre, vous pouvez optimiser l’autonomie.

Recharge automatique et reprise du cycle

Quand la batterie descend sous un certain seuil, le robot retourne se recharger tout seul à sa base, sans rien vous demander. Et surtout :

• Il reprend le nettoyage exactement là où il s’était arrêté.
• Pas besoin de relancer le cycle manuellement.

Temps de recharge complet : environ 3,5 à 4 heures, ce qui est raisonnable pour sa catégorie.

Une seule batterie, mais ça suffit largement

Contrairement à certains modèles où on peut clipser une batterie de secours, ici la batterie est intégrée et non interchangeable. Mais honnêtement, je n’ai jamais ressenti le besoin d’une seconde : il couvre toute ma surface sans problème.

Verdict : l’autonomie est bien calibrée pour un usage domestique normal. Si vous avez plus de 150 m² à nettoyer d’un coup, il prendra juste une petite pause pour se recharger et repartira ensuite. Pour moi, c’est un point validé

Vidage et entretien : l’atout Clean & Empty vraiment utile ?

L’une des raisons pour lesquelles j’ai craqué pour le Shark PowerDetect NeverTouch Pro, c’est clairement sa promesse d’autonomie totale. Et s’il y a un domaine où ça change la vie, c’est bien l’entretien. Parce que soyons honnête : personne n’a envie de vider un petit bac plein de poussière tous les jours…

Vidage automatique après chaque cycle

À chaque retour à la base, le robot transfère toute la poussière dans le grand bac de la station. Ce bac fait 2 litres, soit environ 15 à 20 cycles complets chez moi avant de devoir être vidé.

Concrètement, je n’ai touché au bac de poussière qu’une fois toutes les deux semaines, et encore, c’était pas plein.

Et bonus : le vidage est bien plus hygiénique que d’ouvrir le bac du robot à la main (zéro nuage de poussière dans le nez).

Entretien côté lavage : ultra simplifié

Côté serpillière :

• Elle est lavée automatiquement après chaque cycle
• Le système utilise de l’eau propre pour rincer la lingette, et l’eau sale est stockée dans un bac dédié
• On peut la passer en machine de temps en temps (je le fais 1x par semaine)

Et bien sûr :

• Pas de cartouches ou de consommables à acheter tous les mois
• Les réservoirs d’eau propre et sale sont faciles à retirer et à rincer

Et les filtres ?

Le robot a deux filtres principaux :

• Un filtre à poussière dans la base
• Un petit filtre lavable dans le robot lui-même

Je les rince tous les 10 à 15 jours sous l’eau claire, je les laisse sécher, et c’est reparti. Aucun outil nécessaire.

Verdict : l’entretien est vraiment pensé pour être rapide, propre et sans tracas. C’est la première fois que j’ai un robot aussi peu contraignant au quotidien. Si vous voulez du “zéro effort”, c’est clairement l’un de ses plus gros points forts.

❓ FAQ – Toutes les questions fréquentes sur le Shark PowerDetect NeverTouch Pro

Après plusieurs semaines de test, je peux dire que le PowerDetect NeverTouch Pro m’a vraiment simplifié la vie. Est-ce qu’il est parfait ? Non. Mais il est efficace, malin, et il évite pas mal de petites galères du quotidien (les cheveux qui s’enroulent, le bac à vider, les recoins oubliés…). Si vous cherchez un robot aspirateur qui lave aussi, sans devoir intervenir toutes les cinq minutes, il mérite clairement qu’on s’y intéresse.

Et si vous hésitez entre plusieurs modèles de chez Shark (parce qu’il y en a quelques-uns, et pas toujours faciles à départager), j’ai aussi rédigé un comparatif clair et à jour pour vous aider à choisir celui qui conviendra vraiment à votre usage.