Shark Glam : test et avis sur ce sèche cheveux !

J’ai toujours été un peu obsédée par les appareils coiffants. Dans ma salle de bain, on trouve un sèche-cheveux classique, une brosse soufflante, un fer à lisser et un boucleur… autant dire que mes tiroirs débordent. Quand j’ai entendu parler du Shark Glam, j’ai tout de suite voulu le tester. Cet appareil promet de remplacer presque tous les outils de coiffure à lui seul. Autant dire que j’étais intriguée.

Le produit vient de sortir en France:

Dans cet article, je partage mon test et avis Shark Glam après plusieurs utilisations. Si vous voulez d’ailleurs comparer avec d’autres modèles de la marque, j’ai déjà publié mon avis et comparatif sur les sèche-cheveux Shark qui donne une bonne idée de la philosophie de Shark côté beauté.

Le Shark Glam est annoncé comme un système complet : il sèche, lisse, boucle et offre un brushing digne d’un salon, tout en limitant les dégâts liés à la chaleur. Sur le papier, il coche toutes les cases. Mais dans la vraie vie, est-ce vraiment l’outil qui peut remplacer la moitié de mes appareils coiffants ? C’est ce que j’ai voulu vérifier.

Prise en main et design du Shark Glam

Quand j’ai sorti le Shark Glam de sa boîte, la première chose quej’ai remarqué, c’est son look. L’appareil a un fini doré très chic qui donne vraiment l’impression d’avoir un outil professionnel à la maison. Je trouve ça presque dommage de le cacher dans un tiroir tant il est beau posé sur la coiffeuse.

Côté prise en main, j’ai été agréablement surprise par son poids. Avec ses 740 grammes environ, il reste léger pour un appareil multifonctions. Je m’attendais à quelque chose de plus massif vu tout ce qu’il promet de faire. Après un premier brushing, je n’avais pas cette sensation de bras fatigué que je connais trop bien avec certains sèche-cheveux puissants.

Le format est bien pensé : 27 cm de long, avec une poignée ergonomique qui tient naturellement dans la main. Les boutons sont placés de façon intuitive, on n’a pas besoin de tordre les doigts pour les atteindre. Mention spéciale au bouton Cool Shot (celui qui envoie de l’air froid pour fixer la coiffure) : je l’ai trouvé très pratique, il réagit tout de suite et ça change vraiment la finition d’un brushing.

Autre détail malin : le manche pivotant qui permet de passer du mode sèche-cheveux au mode styler. Au début, j’ai eu peur que ça fasse gadget, mais finalement le mécanisme est fluide et solide. On sent bien le petit “clic” qui sécurise la position, ça inspire confiance.

En résumé, je trouve que le Shark Glam réussit à combiner élégance et ergonomie. Pas besoin de mode d’emploi compliqué pour comprendre comment le tenir ou enclencher un embout : tout est assez instinctif.

Les technologies intégrées au Shark Glam

J’ai acheté le Shark Glam pour sa promesse d’offrir un vrai résultat “salon” sans abîmer les cheveux. Après plusieurs essais, je comprends mieux d’où vient la différence : ce n’est pas juste un sèche-cheveux amélioré, c’est tout un système avec plusieurs technologies pensées pour limiter la chaleur extrême et donner plus de brillance.

Le premier outil que j’ai testé, c’est le Silki™ Air Straightener. L’idée est simple : combiner la chaleur maîtrisée de plaques en céramique avec un flux d’air puissant. Résultat, les cheveux passent de mouillés à lisses en un seul passage. Sur mes cheveux ondulés, j’ai vraiment vu la différence : le temps de séchage est raccourci et le rendu est beaucoup plus soyeux qu’avec mon lisseur classique.

Ensuite, j’ai enchaîné avec le Glossi™ Air Styler, qui est pensé pour les brushings brillants. La promesse de brillance n’est pas exagérée : les cheveux ressortent doux, disciplinés et avec ce petit côté glossy qu’on obtient normalement chez le coiffeur. J’ai trouvé que le volume tenait bien, sans frisottis au bout d’une heure.

Le Shark Glam est aussi livré avec des Coanda Auto-Wrap Curlers, ces embouts qui enroulent automatiquement la mèche pour former des boucles. Pas besoin de se contorsionner ni de calculer le sens du rouleau : il suffit de laisser faire l’air. C’est rapide, et surtout ça évite la chaleur intense des fers traditionnels.

Enfin, me Scalp Shield. C’est une option activable qui protège le cuir chevelu contre les températures trop fortes. Sur moi, ça m’a permis de sécher les racines sans avoir cette sensation de chaleur désagréable sur la peau. Shark a d’ailleurs développé cette fonction avec des dermatologues, et ça se sent : plus besoin de reculer l’appareil à dix centimètres de la tête par peur de se brûler.

La gestion de la température est vraiment précise : en mode “wet to dry”, la chaleur reste autour de 100 à 120 °C (assez pour sécher mais pas trop pour brûler), tandis qu’en mode “dry styling” on monte plus haut pour fixer une coiffure (jusqu’à 220 °C). Cette flexibilité donne un vrai contrôle selon l’effet recherché.

En résumé, le Shark Glam ne se contente pas de souffler de l’air chaud. Chaque technologie a son rôle, et c’est en combinant les embouts qu’on arrive à un rendu plus pro, sans avoir l’impression de martyriser ses cheveux.

Modes et utilisation du Shark Glam

Quand j’ai commencé à utiliser le Shark Glam, j’ai vite compris qu’il fallait jouer avec ses différents modes pour vraiment en tirer le meilleur. L’appareil fonctionne en mode Wet ou en mode Dry, et la différence est assez frappante.

En mode Wet, j’ai pu sécher mes cheveux directement après la douche. La température reste contrôlée (autour de 100 à 120 °C), et associée au flux d’air, elle permet de passer du mouillé au lisse sans avoir l’impression de griller la fibre. Avec le Silki Straightener, j’ai réussi à lisser une mèche encore humide en un seul passage, et le rendu était soyeux. C’est le mode que j’utilise quand je suis pressée le matin.

En mode Dry, la chaleur monte davantage (jusqu’à 220 °C) pour styliser sur cheveux secs ou à peine humides. C’est parfait pour retoucher une coiffure, donner un coup de volume ou fixer un brushing. Avec le Glossi Styler, j’ai eu ce rendu très “blowout” façon sortie de salon, brillant et avec du mouvement.

Un bouton qui mérite d’être mentionné, c’est le Cool Shot. Quand on maintient la pression, l’air froid arrive immédiatement. Je l’utilise en fin de brushing ou après avoir fait une boucle : dix secondes suffisent pour fixer la forme et lisser les frisottis. C’est une petite fonction, mais elle change vraiment la tenue de la coiffure.

En pratique, j’ai utilisé le Shark Glam aussi bien pour des brushings rapides que pour un vrai séchage complet après lavage. Le changement d’embouts est simple, et le passage du mode sèche-cheveux au mode styler est super fluide. J’ai trouvé que le geste devenait rapidement instinctif, alors que je craignais au départ de devoir m’habituer longtemps.

Accessoires fournis avec le Shark Glam

Le Shark Glam arrive avec une panoplie d’accessoires qui le transforment en véritable couteau suisse capillaire. Sur le papier, ils ont tous leur utilité, mais après plusieurs jours d’essai, je peux dire lesquels sont devenus indispensables pour moi, et lesquels je sors plus rarement.

Le premier, c’est le Silki Straightener. C’est celui que j’utilise le plus souvent, parce qu’il permet de passer directement du cheveu mouillé au cheveu lisse. Pour une fois, le lissage ne rime pas avec chaleur extrême : les plaques en céramique associées à l’air donnent un résultat doux, et je gagne un temps fou.

Ensuite, le Glossi Styler. C’est l’embout qui sert à reproduire un brushing bien rond, avec du volume et beaucoup de brillance. J’ai adoré le rendu sur mes cheveux mi-longs : souplesse et mouvement sans frisottis, presque comme si j’étais sortie du salon. Pour une soirée ou une journée où je veux avoir les cheveux vraiment “nickel”, c’est celui que je choisis.

Les Coanda Auto-Wrap Curlers m’ont agréablement surprise. J’avais peur de passer des heures à enrouler mes mèches, mais l’air s’en occupe tout seul. En quelques minutes, j’ai pu obtenir des boucles nettes et symétriques, sans passer par un fer classique. J’aime bien les utiliser de temps en temps pour changer de tête, même si ce n’est pas mon accessoire du quotidien.

Il y a aussi un embout anti-frisottis, le FrizzFighter. Pour être honnête, je l’ai moins utilisé, mais je vois son intérêt pour celles et ceux qui ont les cheveux qui gonflent vite ou qui vivent dans des climats humides. Sur moi, l’effet est plus discret, mais il peut clairement être utile selon la texture du cheveu.

Enfin, le Shark Glam peut se transformer en sèche-cheveux classique, grâce à sa buse concentratrice. Je l’ai testé après un shampoing où je n’avais pas envie de me lancer dans un brushing complet, et il fait très bien le job. Le débit d’air est puissant et rivalise avec mon sèche-cheveux habituel.

En résumé : le Silki et le Glossi sont mes compagnons du quotidien, les curlers sont parfaits pour varier les styles, le FrizzFighter est plus situationnel, et la fonction sèche-cheveux complète bien l’ensemble.

Mon avis sur le Shark Glam

Après plusieurs utilisations, je peux dire que le Shark Glam est vraiment un chouette outil. Mon premier test a été un séchage complet après la douche : d’habitude, il me faut au moins vingt minutes pour sécher et lisser mes cheveux avec deux appareils différents. Avec le Silki Straightener, j’ai mis à peine dix minutes pour obtenir un rendu lisse et brillant. Je ne pensais pas gagner autant de temps.

Sur le plan du résultat, mes cheveux étaient plus doux au toucher et beaucoup plus soyeux que d’habitude. J’ai aussi remarqué moins de frisottis, même en fin de journée, ce qui est rarement le cas quand j’utilise mon fer classique. Le Glossi Styler, lui, m’a permis d’obtenir un brushing volumineux, avec ce petit effet “glossy” qui donne tout de suite l’impression d’avoir passé une heure chez le coiffeur.

Côté boucles, les Auto-Wrap Curlers sont bluffants. Je ne suis pas particulièrement douée avec les fers, et pourtant j’ai obtenu des boucles régulières dès la première fois. Elles tenaient encore le soir, ce qui est plutôt rare pour mes cheveux qui ont tendance à se détendre vite.

Autre point important : mes cheveux ne semblent pas abîmés malgré les passages répétés. D’habitude, après quelques semaines avec un nouvel appareil chauffant, je vois déjà les pointes s’assécher. Là, la combinaison chaleur contrôlée + flux d’air semble réellement limiter les dégâts.

Bien sûr, tout n’est pas parfait. L’appareil est un peu bruyant, proche d’un sèche-cheveux puissant, et il faut quelques essais pour bien prendre le coup avec les embouts. Mais une fois la routine trouvée, les résultats sont franchement à la hauteur de mes attentes.

Mes cheveux sont plus brillants, plus disciplinés, et je gagne un temps précieux le matin. Pour quelqu’un qui se coiffe tous les jours, la différence est nette.

Les limites du Shark Glam

Même si le Shark Glam m’a séduite sur beaucoup de points, il a quand même quelques faiblesses dont il faut parler. C’est un appareil haut de gamme, et comme souvent avec ce type de produit, il ne conviendra pas forcément à tout le monde.

La première limite, c’est bien sûr le prix. Autour de 450 €, on est clairement dans la même catégorie que Dyson ou d’autres outils premium. Si on ne se coiffe pas tous les jours ou si on cherche juste un sèche-cheveux de dépannage, l’investissement est trop élevé.

Ensuite, il y a le bruit. Le flux d’air est puissant, et ça s’entend. Je dirais que le niveau sonore est comparable à un sèche-cheveux classique, peut-être un peu plus sur certains embouts. Ce n’est pas insupportable, mais on oublie l’idée de discuter en même temps qu’on l’utilise.

Autre point à prendre en compte : l’absence de housse ou d’étui de rangement. Avec tous les accessoires, j’aurais aimé un coffret pour tout organiser. Là, on doit trouver soi-même une solution pour ranger les embouts, ce qui n’est pas très pratique si on a une petite salle de bain.

Enfin, il y a une courbe d’apprentissage. Les premiers essais ne sont pas forcément parfaits, surtout avec les curlers automatiques. Il faut un peu de patience pour trouver la bonne gestuelle et comprendre quel embout utiliser selon le rendu souhaité. Mais une fois qu’on a pris le coup, ça devient fluide.

En bref, le Shark Glam est un outil très complet, mais il demande un vrai budget, un peu de place pour le rangement, et un petit temps d’adaptation. À mon sens, il vaut le coup si on aime se coiffer régulièrement et qu’on veut remplacer plusieurs appareils par un seul.

Avis clients et retours utilisateurs

Quand je teste un appareil coiffant, je peux donner mon ressenti, mais je sais bien qu’on n’a pas toutes la même texture de cheveux. Mes cheveux sont mi-longs, plutôt épais et légèrement ondulés, donc mon expérience ne sera pas la même que celle d’une personne avec des cheveux fins, bouclés ou crépus. C’est pour ça que je prends toujours le temps de lire aussi les retours d’autres utilisatrices.

En parcourant les avis sur le Shark Glam, plusieurs points reviennent régulièrement. D’abord, la polyvalence est saluée par quasiment tout le monde : beaucoup disent avoir rangé leur sèche-cheveux classique, leur fer à lisser et parfois même leur boucleur, tant le Glam peut tout remplacer. C’est un vrai gain de place et de temps.

La rapidité est aussi souvent mentionnée. Plusieurs clientes expliquent avoir séché leurs cheveux en deux fois moins de temps qu’avec leurs appareils habituels. Pour celles qui ont une chevelure très épaisse, c’est un argument de poids.

Côté rendu, les retours sont très positifs sur la brillance et la douceur obtenues. Beaucoup parlent d’un effet “sortie de salon” et disent avoir constaté moins de frisottis qu’avec leurs anciens outils. Certaines soulignent aussi qu’elles sentent moins de chaleur agressive sur le cuir chevelu grâce au système Scalp Shield.

Bien sûr, tout n’est pas parfait. Plusieurs avis pointent le prix élevé, qui reste un frein, et le bruit qui peut gêner. Mais dans l’ensemble, le ressenti est largement positif, surtout pour celles qui utilisent le Glam tous les jours.

En lisant ces avis, j’ai trouvé intéressant de voir qu’il fonctionne bien sur des cheveux très différents : fins, épais, crépus, colorés. Ça confirme que Shark a voulu créer un outil vraiment universel, et pas seulement pensé pour un type de cheveu.

Shark Glam vs les autres sèche-cheveux et stylers

Quand on regarde le Shark Glam, impossible de ne pas penser au Dyson Airwrap ou même au FlexStyle de Shark. Ce sont tous des appareils haut de gamme qui promettent de sécher et coiffer en même temps, mais il y a quand même de vraies différences.

Le Dyson Airwrap est sans doute le plus connu. Il reste une référence, mais son prix dépasse souvent les 550 €, et ses performances dépendent beaucoup de la technique qu’on adopte. Le Shark Glam est proposé autour de 450 € et met davantage l’accent sur le “wet to dry” : on peut passer du cheveu mouillé à un rendu lisse ou brushé beaucoup plus rapidement, grâce à ses plaques en céramique associées au flux d’air.

Le FlexStyle, que j’ai aussi testé, joue dans la même catégorie mais avec une approche différente. Il est plus compact, plus accessible en prix (autour de 300 €), et reste parfait pour sécher et coiffer au quotidien. Le Glam, lui, pousse plus loin l’aspect multifonction : ses plaques céramiques Silki et Glossi permettent de remplacer totalement le lisseur et de reproduire un brushing très glossy. Si vous hésitez, je vous conseille de lire mon avis complet sur le Shark FlexStyle pour mieux comparer.

Face à un sèche-cheveux classique, la différence est encore plus nette. Un sèche-cheveux sèche, un lisseur lisse, un boucleur boucle… et il faut sortir chaque appareil à tour de rôle. Avec le Glam, tout est regroupé dans un seul outil. C’est clairement pensé pour gagner du temps, mais aussi de la place dans la salle de bain.

Le Shark Glam se rapproche du Dyson Airwrap par son côté premium, mais avec une technologie plus orientée vers la protection du cheveu. Par rapport au FlexStyle, il est plus sophistiqué et plus cher, mais aussi plus complet. Et face à un sèche-cheveux classique, il n’y a pas photo : on change carrément de catégorie.

Où acheter le Shark Glam et à quel prix ?

Le Shark Glam est vendu 399,99 €, ce qui en fait clairement un appareil haut de gamme. On peut le trouver chez certains revendeurs en ligne ou en magasin, mais je conseille vraiment de passer par le site officiel de Shark. Pourquoi ? Parce qu’on bénéficie directement de la garantie constructeur, des facilités de paiement, et surtout des promotions ponctuelles qui ne sont pas toujours disponibles ailleurs.

Avant de craquer, je vous recommande de jeter un œil à mon article dédié aux codes promo Shark beauty . Il y a souvent des réductions intéressantes ou des packs avantageux qui permettent de faire baisser la facture.

En résumé, si vous voulez être sûre de profiter de la garantie complète et de payer le bon prix, le site officiel Shark reste la meilleure option.

FAQ sur le Shark Glam

Après plusieurs utilisation Shark Glam, je peux dire qu’il tient ses promesses. L’appareil est pratique, polyvalent et m’a vraiment permis de gagner du temps dans ma routine capillaire. Les résultats sont au rendez-vous : cheveux brillants, moins de frisottis et une vraie sensation de protection par rapport à la chaleur extrême d’un fer classique.

Bien sûr, il a ses limites : le prix élevé, le bruit et l’absence d’un vrai coffret de rangement. Mais si vous vous coiffez régulièrement, que vous aimez alterner brushing, lissage et boucles, et que vous en avez assez d’accumuler trois ou quatre appareils différents, le Glam peut clairement devenir votre outil unique.

De mon côté, je trouve que c’est un investissement qui se réfléchit. Celles et ceux qui ne se coiffent qu’occasionnellement trouveront peut-être le FlexStyle plus adapté. Mais pour une utilisation quasi quotidienne, le Shark Glam fait vraiment la différence.

Dernier petit conseil si vous voulez aller plus loin : l’appareil aide à préserver la fibre, mais la beauté des cheveux se joue aussi de l’intérieur. Je vous invite à jeter un œil à mon article sur les compléments alimentaires pour les cheveux pour booster la brillance et la force de vos longueurs. Le combo soins internes + outils adaptés reste la meilleure recette pour une chevelure en pleine forme.