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Je l’ai achetée au USA, je vous ai mis dans le paragraphe France les infos que j’ai mais qui sont susceptibles de changer !
Avant de vous en dire plus sur la dernière machine à glace de Ninja, vous pouvez jeter un oeil à mon avis sur la marque Ninja Kitchen si vous ne la connaissez pas !
En bref, si vous avez adoré la Ninja Creami, apprécié les petits plus de la Creami Deluxe, accrochez-vous bien : vous n’avez encore rien vu. Le Ninja Swirl, c’est leur grande sœur qui a décidé de jouer dans la cour des machines à glace italienne maison en plus de la version creami classique. Et clairement, j’étais obligée de le tester.
Il faut dire que chez moi, les glaces, c’est pas juste une passion d’été : c’est toute l’année, tous les parfums, toutes les textures. Sorbet maison en janvier ? Oui. Glace vanille façon crème anglaise en octobre ? Oui aussi. Quand j’ai vu que Ninja lançait une machine à glaces fonction swirl et programme spécial glaces protéinées, j’ai sorti la CB sans trop réfléchir.
Et comme je sais que beaucoup d’entre vous se posent des questions avant d’investir (parce que oui, c’est un sacré budget), j’ai décidé de vous partager mon avis détaillé : ce que j’ai aimé, ce qui m’a bluffée, les petits trucs à savoir avant d’acheter… et si, franchement, ça vaut les 350 euros.
Spoiler : j’ai rarement eu autant envie de vider mon congélo pour y stocker des bacs de préparation 😅
Quand j’ai entendu parler du Ninja Swirl, je me suis dit que c’était peut-être juste une Creami de plus (voir mon avis sur la Ninja Creami et la deluxe). Mais en creusant un peu, je me suis rendu compte que c’était une machine un peu différente, surtout pensée pour faire des glaces à l’italienne et jouer avec les textures.
Je ne vais pas vous mentir : c’est un gros appareil, il faut lui faire une vraie place dans la cuisine. Mais c’est aussi l’une des rares machines qui permet d’avoir autant de variétés de desserts glacés, sans avoir besoin d’un compresseur ni d’un bac qu’on fait tourner pendant une heure. Il suffit de préparer les bases à l’avance, de les congeler dans les pots, puis de les insérer dans la machine quand on a envie.
Concrètement, la machine propose 13 programmes intelligents répartis en 3 catégories :
Le bec verseur intégré permet de servir la glace en spirale, avec une vraie texture mousseuse mais stable. Le résultat est super convaincant.
Ce programme ajoute des morceaux dans une base déjà prête : pépites, éclats, noix… sans les broyer.
Recette : glace vanille maison + morceaux de cookie aux noix de pécan
Résultat : fondant + croustillant = combo gagnant.
La texture est plus ferme, idéale pour faire de vraies boules avec une cuillère, à servir dans une coupe ou sur une pâte à cookie chaude (oui, j’ai testé).
Quand j’ai décidé de sauter le pas, j’avoue que le prix m’a fait tiquer. Le Ninja Swirl est affiché à environ 349,99 € sur le site officiel. Clairement, ce n’est pas un petit achat coup de tête.
Mais en creusant un peu, j’ai compris pourquoi : ce n’est pas une simple sorbetière, ni un gadget qui finit au fond d’un placard. C’est une machine polyvalente, bien construite, avec plusieurs programmes automatiques, et surtout aucun besoin de glaçons ou de bol à turbiner. Juste un peu de préparation et votre congélateur.
🛒 Le plus simple, c’est de passer par le site officiel Ninja Kitchen France, où la machine est souvent accompagnée de packs avec accessoires (pots supplémentaires, livrets de recettes, etc.). J’y ai aussi vu parfois des promos ou codes de réduction temporaires.
Il commence aussi à apparaître sur quelques marketplaces (Amazon, Darty, Boulanger…), mais rarement avec autant de clarté sur les accessoires inclus ou les stocks disponibles.
Je possédais déjà une sorbetière simple (vous savez, les bols à mettre au congélateur 12h avant) : c’est sympa, mais on est limité en texture, et souvent obligé d’anticiper beaucoup trop.
Quant aux turbines à glace avec compresseur, elles sont plus pro, mais aussi plus encombrantes… et souvent plus chères (500 à 1000 €). Avec le Ninja Swirl, j’ai trouvé un bon compromis entre prix, praticité et plaisir d’usage.
En résumé : c’est un investissement, mais rentabilisé très vite si vous aimez faire vos propres desserts glacés, ou si vous cherchez à éviter les glaces industrielles souvent très sucrées.
Quand j’ai reçu mon Ninja Swirl, j’ai fait comme toujours : j’ai tout sorti du carton en mode enfant à Noël. Et honnêtement, la première impression a été très bonne.
La machine est bien emballée, rien ne bouge, chaque élément est protégé. À l’intérieur, j’ai trouvé :
Il n’y a aucun montage compliqué, juste quelques éléments à clipser. En 5 minutes, tout était prêt à l’emploi.
Pas besoin d’être bricoleur ou geek pour s’en sortir. Une prise électrique, un plan de travail plat, et c’est parti. L’écran s’allume dès qu’on ferme le couvercle, les boutons sont tactiles, bien lisibles.
J’ai juste rincé les accessoires, puis inséré un pot que j’avais préparé la veille (base vanille toute simple). Pas de vis, pas de réglage manuel, tout est intuitif. Et le couvercle se verrouille très facilement.
L’écran affiche tous les modes avec de petites icônes bien faites. Il suffit de tourner le bouton pour choisir entre :
Un petit bip vous confirme que tout est en place. Franchement, même si vous n’avez jamais utilisé de machine de ce genre, vous serez à l’aise en 10 minutes max.
💡 Mon petit conseil : ayez toujours un pot déjà congelé prêt à être inséré. Ça permet de se lancer sans attendre et d’apprivoiser la machine tranquillement.
Ce que j’ai vite compris avec le Ninja Swirl, c’est qu’il ne demande pas de manip compliquée, mais qu’il faut juste penser à congeler ses mélanges à l’avance. Une fois cette habitude prise, c’est que du bonheur.
La première étape, c’est de préparer votre base de glace : crème, yaourt, fruits mixés, lait végétal, sirop… Vous versez dans le pot (jusqu’à la ligne max), vous fermez, et vous placez au congélateur pendant 24 heures minimum.
💡 Astuce : je me suis acheté 2 pots supplémentaires, comme ça j’ai toujours des bases prêtes à l’emploi. Une base classique, une plus légère, et une version protéinée par exemple.
Une fois la base congelée, vous insérez le pot dans la machine, vous fixez la tête moteur et vous sélectionnez le programme voulu via la molette. La machine lance automatiquement le bon cycle, qui dure en général entre 3 et 5 minutes.
Le bruit est raisonnable (moins fort que ce que je craignais), et on voit la texture se transformer sous nos yeux. On sent que ça turbine bien, mais sans agresser la préparation.
Parfois, surtout avec les recettes très riches ou très fruitées, la texture peut rester un peu “cassante”. Dans ce cas, le mode Re-spin permet de relancer un mixage court pour adoucir la glace.
📝 Je l’utilise environ 1 fois sur 3, surtout avec les bases sans crème. Ça fait vraiment la différence.
Quand on utilise un mode Swirl, on peut insérer le bec verseur et servir directement la glace à l’italienne dans un cornet ou une coupe. Et là… c’est ultra satisfaisant. On appuie doucement sur la poignée, et la glace sort en spirale, comme chez le glacier.
La première fois, j’ai raté un peu (trop appuyé, la glace sortait trop vite), mais après deux essais, j’avais le geste. Résultat super visuel, et très fun à faire avec des enfants ou en dessert de dîner.
💡 Mon conseil : sortez le pot du congélateur 5 minutes avant de le passer à la machine, surtout si vous avez un congélateur bien froid. La texture sera parfaite sans avoir besoin de re-spin.
Franchement ? C’est ce qui m’a le plus surprise. Je m’attendais à une texture “maison”, un peu granuleuse ou trop glacée. Et en fait, j’ai obtenu dès la première utilisation des textures très proches de ce qu’on trouve chez un glacier, avec un vrai plaisir en bouche. Même les recettes plus light s’en sortent très bien.
Les glaces classiques (à base de crème/lait) sont ultra onctueuses, bien plus que celles que j’ai faites avec ma sorbetière. La texture est lisse, dense, et ne fond pas en 30 secondes. C’est digne d’une bonne glace artisanale.
Les sorbets sont vraiment réussis : pas de cristaux, une tenue agréable, et une fraîcheur qu’on ne retrouve pas dans les sorbets industriels.
Les yaourts glacés ont un côté plus “mousseux”, léger mais stable. On peut les manger nature ou ajouter des toppings (je suis fan des framboises + éclats de meringue 😍).
Par rapport aux glaces de supermarché : c’est le jour et la nuit. Ici, pas d’arômes artificiels, pas de stabilisants, pas de sucre à outrance. C’est vous qui choisissez tout. Et le goût des fruits, de la vanille ou du chocolat est vraiment plus présent.
Par rapport aux glaces artisanales : c’est très proche ! Si vous maîtrisez votre recette de base, vous obtiendrez une glace digne d’une bonne adresse.
Et puis… on peut en faire tous les jours. Avec ce que vous avez au frigo.
Ce qui est génial avec le mode Extra (Mix-ins), c’est qu’on peut recréer des glaces ultra gourmandes avec des morceaux ajoutés à la fin : cookies, caramel, granola, fruits rouges, chocolat concassé…
J’ai testé un “façon McFlurry” :
Et pour le côté Pinkberry :
C’est aussi ce que j’aime avec cette machine : on peut adapter les recettes à son mode de vie, sans se sentir puni côté goût.
💡 Mon conseil : les recettes à base de purée de banane ou d’avocat marchent très bien pour donner du corps sans matière grasse animale.
Je ne suis pas chef pâtissière, mais j’aime bien manger des bonnes choses. Et avec le Ninja Swirl, j’ai vite compris qu’il ne fallait pas se compliquer la vie pour avoir des glaces maison délicieuses. Voici les recettes que je fais tourner le plus souvent, selon mes envies du moment (ou ce que j’ai dans le frigo 😅).
La base que je prépare presque systématiquement quand je teste une nouvelle machine. Elle sert aussi à tester les mix-ins.
Ingrédients :
Je fouette, je laisse reposer au frais quelques heures, je verse dans le pot, et au congélateur pour 24h. Ensuite, programme “Crème glacée” → parfait. La texture est dense, ultra lisse, pas de cristaux. Mon classique sûr.
Quand j’ai envie de quelque chose de plus léger, mais pas moins gourmand.
Recette de base :
Et en variante :
Je le passe en programme “Frozen Yogurt” ou “Frozen Yogurt Swirl” selon l’envie. Texture douce, pas trop acide, super frais.
Parfait pour écouler les fruits très mûrs. En plus, c’est sans la moindre crème, donc très digestes.
Recette mangue-passion :
Je mixe le tout, verse dans le pot, congèle 24h, puis mode “Sorbet”. Texture légèrement fondante, super goût de fruit. Très rafraîchissant.
Quand j’ai envie d’un dessert sans culpabilité après le sport.
Recette vanille-banane :
Je mixe le tout, congèle dans un pot, et lance le mode CreamiFit. Texture compacte, pas trop sucrée, rassasiante. Très bon même sans topping.
💡 Astuce : la purée de banane aide à donner de la structure sans sucre ajouté.
Je termine souvent mes glaces avec le mode “Extra” pour ajouter du croquant ou du fondant.
Mes combos préférés :
Le programme Extra permet d’intégrer les morceaux sans les pulvériser. La texture reste intacte et les contrastes sont très agréables.
Quand on achète un appareil de cuisine, surtout un peu haut de gamme, on se demande souvent : est-ce que je vais vraiment l’utiliser… ou est-ce qu’il va finir au placard parce qu’il est galère à nettoyer ?
Heureusement, avec le Ninja Swirl, la réponse est simple : c’est facile à entretenir, tant qu’on prend quelques bonnes habitudes.
Tous les éléments qui sont en contact avec la glace se démontent en deux secondes :
Il n’y a aucun recoin pénible à frotter. Et surtout, rien de fragile.
Tous les éléments amovibles passent au lave-vaisselle (panier du haut recommandé) :
Personnellement, je rince rapidement à l’eau tiède juste après l’utilisation, puis je les mets au lave-vaisselle le soir. Zéro corvée, vraiment.
Et petit détail bonus : la machine est assez compacte pour rester sur le plan de travail sans prendre trop de place, donc je l’utilise souvent, sans que ça devienne contraignant.
Après plusieurs semaines d’utilisation, je peux dire que le Ninja Swirl a largement trouvé sa place dans ma cuisine. Mais comme tout appareil, il a ses bons côtés… et ses petits bémols. Voici mon avis, tout simplement.
💡 Est-ce que je regrette mon achat ? Non, clairement pas. Mais il faut aimer faire soi-même, et être prêt à anticiper un peu. Si c’est votre cas, vous allez vraiment vous régaler.
Avant d’acheter le Ninja Swirl, j’ai longtemps comparé. J’avais déjà testé une sorbetière classique, j’avais vu passer la Creami “première version”, et je me suis aussi posé la question des grosses turbines à glace professionnelles. Voici ce que je retiens aujourd’hui, après usage.
💡 En résumé : si vous hésitez entre les deux, le Swirl est plus complet et plus fun, surtout si vous aimez le service en cornet ou les textures très variées.
Une sorbetière classique demande de mettre le bol au congélateur avant chaque utilisation (et souvent pendant 12h mini). On ne peut donc faire qu’une glace à la fois, sauf à avoir plusieurs bols.
La texture est souvent moins fine, surtout pour les yaourts glacés ou les recettes légères.
Pas de mix-ins, pas de swirl, zéro personnalisation.
💡 À l’usage, le Ninja Swirl est plus rapide, plus stable, et bien plus créatif dans les textures.
Une turbine (type Lagrange ou Magimix) a un compresseur intégré, donc pas besoin de congeler les préparations. On peut tout faire en direct.
Mais elles sont souvent plus encombrantes, plus bruyantes, et coûtent en général entre 500 et 1000 €.
Le Ninja Swirl demande une congélation en amont, mais il est bien plus compact, plus ludique, et la qualité est franchement comparable si la base est bien faite.
💡 Pour un usage familial ou créatif, le Swirl est moins cher, plus polyvalent, et suffisant pour 95 % des besoins.
En résumé :
Si vous aimez tester, varier les plaisirs, servir des glaces comme chez le glacier, le Ninja Swirl est un bon compromis entre puissance, créativité et prix maîtrisé.
Après plusieurs semaines d’utilisation, je peux dire sans hésiter que le Ninja Swirl by Creami a tenu ses promesses. C’est une machine bien conçue, agréable à utiliser, et surtout qui donne des résultats dignes d’un vrai glacier, à la maison.
Je l’ai intégrée dans ma routine sans forcer : je prépare mes bases à l’avance, je varie les plaisirs, et je n’achète quasiment plus de glace industrielle. Et franchement, c’est satisfaisant.
Je vous la recommande si :
En revanche, si vous n’aimez pas anticiper, que vous cuisinez peu, ou que vous cherchez juste une petite sorbetière pour une glace occasionnelle, ce n’est peut-être pas la peine d’investir autant.
Oui, et c’est même sa grande force ! Grâce à son bec verseur et ses programmes spécifiques, la texture est aérée, souple et stable, exactement comme une glace servie en cornet chez le glacier. Il faut juste bien doser sa base (ni trop liquide, ni trop grasse), et le résultat est au rendez-vous.
Oui. La base doit être complètement figée pour que le cycle fonctionne correctement. Si elle est encore molle, la texture finale risque d’être ratée. C’est le petit défaut, mais une fois que vous avez 2 ou 3 pots prêts d’avance, ça roule.
Pas du tout. Tous les éléments passent au lave-vaisselle (panier du haut recommandé). Et tout se démonte très facilement. Je rince les pièces juste après usage, je passe un coup d’éponge dans le bec verseur si besoin, et c’est fait.
Non. Le Ninja Swirl ne contient pas de compresseur. Il faut préparer et congeler vos bases à l’avance dans les pots fournis. Ensuite, la machine les mixe et les transforme en glace onctueuse en 3 à 5 minutes.
Oui, c’est même un de ses gros atouts. Vous pouvez utiliser :
du lait végétal (amande, coco…),
du yaourt nature ou grec,
de la banane ou de la purée de cajou pour donner du corps,
et des édulcorants naturels (sirop d’agave, stévia…).
La texture est parfois un peu plus ferme, mais en utilisant le mode CreamiFit, on obtient de très bons résultats.
Complètement. Les recettes peuvent être 100 % naturelles, la prise en main est facile, et le service en spirale avec la poignée est très ludique. C’est même devenu un petit rituel du dimanche chez moi.
out dépend de votre usage. Si vous faites des glaces une fois l’été, sans chercher une texture précise : non. Mais si vous aimez varier les recettes, faire attention à vos ingrédients, ou que vous êtes plusieurs à la maison… alors oui, c’est un bon investissement.
Depuis que le Ninja Swirl by Creami a rejoint ma cuisine, je ne regarde plus les glaces industrielles de la même façon. Je choisis mes ingrédients, je dose mon sucre, je joue avec les textures… et le tout avec une facilité déconcertante.
Certes, il faut anticiper un peu. Mais une fois qu’on a le réflexe de congeler ses pots à l’avance, c’est un vrai plaisir à utiliser. Que ce soit pour un sorbet fruité express, une glace à l’italienne maison ou un yaourt glacé protéiné, je trouve toujours une bonne excuse pour m’en servir.
Alors oui, c’est un petit investissement. Mais si vous aimez les desserts glacés (et que vous voulez éviter les cochonneries du commerce), vous ne le regretterez pas.