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On en entend parler partout : dans les magazines beauté, à la salle de sport, dans les rayons bien-être… Le collagène semble devenu le nouvel allié de celles et ceux qui veulent bien vieillir, prendre soin de leur peau, de leurs articulations ou simplement rester en forme.
J’avoue, moi aussi j’ai fini par m’y intéresser. Pas pour “rattraper le temps”, mais plutôt pour accompagner mon corps qui, doucement, change (hello la quarantaine !). Parce qu’on peut prendre de l’âge sans se faner, et rester bien dans sa peau sans chercher à tout lisser non plus !

Imaginez une charpente invisible qui soutient votre peau, vos muscles, vos os, vos tendons et vos articulations. Cette charpente, c’est le collagène. Il représente près d’un tiers des protéines du corps humain, rien que ça.
Concrètement, le collagène agit comme une colle naturelle qui relie les tissus entre eux. C’est lui qui donne à la peau sa fermeté et son élasticité, aux articulations leur souplesse, et aux muscles leur tonicité.
Sans lui, tout devient un peu plus “mou” : la peau se détend (coucou les rides et ridules), les articulations grincent, la récupération se fait plus lente.
Le souci, c’est que notre production naturelle de collagène diminue dès 30 ans, et continue de chuter au fil du temps, surtout avec la ménopause. C’est le processus normal du vieillissement. Mais c’est aussi pour ça qu’on parle de plus en plus de compléments à base de collagène, destinés à compenser cette baisse progressive.
Certains y voient une astuce beauté, d’autres un vrai soutien pour le corps. Personnellement, je préfère parler de prévention douce. Un petit geste pour aider le corps à continuer de faire ce qu’il fait déjà, juste un peu moins vite.

C’est un fait : dès qu’on passe la vingtaine, notre organisme ralentit la production de collagène. Vers 25 ans, la baisse reste légère. Mais à partir de 40 ans, elle devient plus marquée. Le corps fabrique alors moins de fibres neuves et les anciennes se dégradent plus vite. Résultat : la peau perd un peu de sa densité, les rides s’installent, les articulations se font parfois sentir, et la récupération musculaire devient plus lente.
Rien de dramatique, c’est juste la vie. On ne “perd” pas notre collagène du jour au lendemain, il s’amenuise doucement.
Certains facteurs accélèrent ce processus :
le soleil, qui fragilise les fibres de collagène
le tabac
le stress oxydatif, lié à une mauvaise alimentation ou au manque de sommeil
et bien sûr le temps
Mais au lieu de se battre contre tout ça, on peut simplement apprendre à accompagner son corps. C’est d’ailleurs ce que j’aime dans cette approche du bien vieillir : on ne cherche pas à gommer, on cherche à soutenir.
Bien manger, bouger, dormir correctement, limiter le sucre, boire de l’eau… tout ça aide déjà à préserver le collagène qu’on fabrique encore. Et si on ajoute un petit coup de pouce par la suite, il s’intègre d’autant mieux.
C’est là qu’interviennent les compléments à base de collagène.

Quand on parle de collagène, on pense souvent à une seule et même molécule. En réalité, il en existe plusieurs formes, selon l’origine des matières premières. Les plus courantes sont le collagène bovin et le collagène marin. Tous deux apportent les mêmes acides aminés essentiels, mais ils ne se valent pas sur le plan de l’assimilation et de la tolérance.
Le collagène bovin est extrait de la peau et des os de bœuf. C’est la forme la plus répandue dans les compléments classiques, notamment pour soutenir les articulations, les tendons et les muscles. Il contient principalement du type I et du type III, utiles pour la fermeté des tissus. C’est une bonne option, mais sa structure moléculaire est un peu plus lourde, ce qui le rend moins facilement absorbé par l’organisme.
Le collagène marin, lui, est issu des écailles et de la peau de poisson. Sa structure est plus fine et plus proche du collagène humain, ce qui le rend plus biodisponible. En clair, le corps l’assimile plus vite et l’utilise mieux.
Sur le plan environnemental, le collagène marin a aussi un petit avantage : il provient de coproduits de la pêche, donc il valorise des matières déjà existantes plutôt que d’en produire de nouvelles.

C’est la question que tout le monde se pose, non ? Est-ce que ces poudres, gélules ou boissons au collagène servent vraiment à quelque chose ou si c’est juste une mode de plus ?
Alors oui, j’en ai essayé plusieurs, par curiosité d’abord. Et avec un peu de recul, je dirais que le collagène n’est pas une potion magique, mais il peut devenir un allié précieux quand on l’intègre avec régularité dans une routine équilibrée !
Le principe est assez simple : quand on en consomme, on apporte au corps des acides aminés qu’il reconnaît et réutilise pour reconstruire ses propres fibres de collagène. Ça ne “rajoute” pas du collagène tout prêt dans la peau ou les genoux, mais ça stimule la production naturelle.
Les études sérieuses montrent d’ailleurs que les peptides de collagène hydrolysé peuvent améliorer l’hydratation de la peau, la souplesse articulaire et la récupération musculaire.
Mais pour que ça fonctionne, il faut trois choses :
En résumé, le collagène ne change pas la vie, mais il accompagne.




C’est souvent la première question qu’on se pose : “Je le prends comment, ce fameux collagène ?” Et la réponse, c’est… comme vous voulez, tant que vous le prenez régulièrement. Les effets dépendent surtout de la constance, pas du format. Mais chaque forme a ses avantages (et ses limites). Et je vous conseille de le prendre à jeun le matin, c’est comme cela qu’il renforce le mieux la muqueuse intestinale !
C’est la version la plus classique. On le trouve pur ou aromatisé, à mélanger dans un verre d’eau, un smoothie ou un café. L’avantage, c’est qu’on peut adapter le dosage facilement (5 à 10 grammes par jour selon les besoins).
L’inconvénient, c’est que certaines poudres ont un goût un peu “poisson” ou une texture qui ne plaît pas à tout le monde. Personnellement, j’ai eu du mal au début, surtout le matin à jeun. Mais dans un jus de fruits ou un yaourt, ça passe très bien. Et pour les aromes, il y a cette marque spécialisée en collagène marin qui en fait un en poudre aromatisée à différents parfums donc pas de goût de iodé !
Pratique, discret, sans goût, le collagène en gélules est parfait quand on veut une routine simple et rapide, sans avoir à mélanger quoi que ce soit.
Le seul bémol, c’est que les doses sont souvent plus faibles : pour atteindre une dose efficace, il faut parfois avaler plusieurs gélules par jour.
C’est la version la plus agréable, surtout quand on manque de temps. Les boissons prêtes à boire au collagène ou les collations enrichies en collagène apportent la dose quotidienne dans un format facile à transporter !
J’étais sceptique au départ, et finalement, c’est devenu mon format préféré. C’est frais, léger, sans préparation, et je trouve que c’est une bonne façon de ne pas zapper sa dose quotidienne.
Ici, on sort de la complémentation “interne”. Les crèmes au collagène agissent en surface, sur l’hydratation et la texture de la peau. Il ne remplace pas les effets des compléments oraux, mais il renforce la barrière cutanée et aide la peau à garder un meilleur confort.
Je le vois plutôt comme un complément externe, parfait en duo avec une cure interne.
En résumé : poudre pour la flexibilité, gélules pour la simplicité, boisson pour la praticité et crème pour l’entretien local. L’important, c’est de trouver la forme qui s’intègre le mieux à votre quotidien. Le collagène n’agit que si on pense à le prendre 🙂
Le corps commence à produire moins de collagène dès 30 ans. Avant, une bonne alimentation suffit souvent. Passé la trentaine, surtout si vous êtes sportif(ve) ou souvent fatigué(e), un petit soutien externe peut aider à préserver la souplesse et l’élasticité des tissus.
Le collagène marin provient de la peau et des écailles de poisson. Il est plus fin et plus biodisponible, donc mieux absorbé.
Le collagène bovin, issu de la peau et des os de bœuf. Les deux sont efficaces, mais pas pour les mêmes besoins.
Oui, et c’est même recommandé. Le collagène agit dans le temps, pas sur un coup d’éclat. Les études montrent des effets visibles après 8 à 12 semaines de prise quotidienne. L’important, c’est la régularité.
Ce n’est pas obligatoire. Vous pouvez en prendre en continu ou faire des cures de 3 mois. Si vous arrêtez, les effets s’estompent doucement, comme un entraînement qu’on met en pause.
Le collagène n’existe pas en version végétale, puisqu’il vient d’animaux (poissons ou bovins).
Mais il existe des formules à base de plantes et de nutriments (vitamine C, bambou, zinc) qui stimulent la production naturelle de collagène. C’est une alternative intéressante si vous évitez les produits animaux.
Non. C’est une protéine pure, pauvre en calories. Elle n’a pas d’effet sur le poids, sauf à remplacer un repas complet par une boisson trop sucrée. Les compléments au collagène marin, en poudre ou en boisson, sont très légers.
Les premiers effets se font sentir entre 8 et 12 semaines, surtout sur la peau et les articulations. La régularité et le dosage font toute la différence. Et comme souvent, les résultats durent tant qu’on continue la cure.
Celle que vous arriverez à prendre tous les jours ! Poudre, gélules, boisson les effets sont proches, seule la régularité compte.
Le collagène, c’est un peu le fil invisible qui relie nos années entre elles. On en parle souvent comme d’un secret beauté, mais c’est surtout une aide précieuse pour accompagner son corps dans le temps.
Ce n’est pas une baguette magique, ni une promesse d’éternelle jeunesse. C’est juste un petit geste régulier, discret, qui soutient la peau, les articulations et la vitalité. Et je trouve ça plutôt bien de ne pas chercher pas à changer, mais juste à se sentir bien, longtemps.
Vieillir, oui, mais doucement 🙂
.Prendre soin de soi, oui, mais sans obsession.
Le collagène s’inscrit dans cette logique-là : aider sans brusquer !
Si vous avez envie de vous lancer, commencez doucement. Une cure de quelques semaines (je vous ai mis une sélection des meilleures marques de collagène dans cet article), une boisson au collagène marin de temps en temps !